Notre signe astrologique correspond en réalité à notre signe solaire, c’est-à-dire le signe du zodiaque occupé par le soleil au moment de la naissance. Par exemple, quand on dit, « je suis Lion », cela veut dire que le soleil traversait la bande zodiacale du Lion au moment de la naissance.

 

Le Soleil reste un mois dans chaque signe, il y a 12 signes, du Bélier aux Poissons, et donc le Soleil traverse l’entièreté de bande zodiacale en une année.

 

On prend comme base le Soleil, car c’est l’astre lumineux par excellence. C’est lui qui pourra informer l’astrologue sur les domaines dans lesquels nous serons amenés à briller, à nous dévoiler, à sortir de l’ombre, et ce, à la façon du signe zodiacal qu’habite le Soleil : à la manière d’un Bélier, d’un Taureau, d’un Gémeaux…

 

Les 9 autres astres : Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Pluton ont également leur signe zodiacal.

Ainsi, si au moment de la naissance la Lune est en Vierge, on dira que le signe lunaire est Vierge.

 

On peut donc être « Sagittaire » (= avoir le Soleil dans le signe du Sagittaire) et toutes les autres planètes dans d’autres signes.

 

Mercure n’est jamais très loin du Soleil : un signe avant celui du Soleil, le même que le signe Solaire ou un signe après. Par exemple, une personne qui est du signe du Scorpion aura « son » Mercure, soit en Balance (un signe avant le Scorpion), soit en Scorpion, soit en Sagittaire (un signe après le Scorpion).

 

Symboliquement, on a coutume d'associer cette proximité inéluctable et ordonnée par le Cosmos au fait que la conscience (le Soleil) et l’intellect (Mercure) ne peuvent pas être trop éloignés.